Ma Mie, allons voir ce matin si la rose…
Invitait le Grand Poète dans sa prose
Hélas, la rose est maintenant fanée
Sa fraîcheur flétrie par les années
Ses atours n’attirent plus les regards
Malgré les artifices et les fards
Et dans ses yeux la même douceur
Reflet de l’amour dans son cœur
Vous qui parfois sentez dans son sillage
Son subtil parfum d’antan, oubliez son âge
Elle fut une belle fleur, mais le temps a passé
Ternissant tout de ses néfastes effets