Tu m’as offert ta peine,
En gage d’amitié.
J’en ferai un poème,
Pour ne pas l’oublier.
Tu m’as ouvert ton cœur,
Déchiré de souffrance
Et les yeux noyés de pleurs
Confié tes espérances.
Toutes paroles sont vaines,
Et ne peuvent consoler
Ton âme, de celui que tu aimes,
Présent dans tes pensées
Je suis désarmé par ton malheur,
Cruel sentiment d’impuissance…
Et n’ai à offrir qu’un peu de douceur,
A toi si seule, qui souffre en silence.